SAINT-DENIS – Lors de plusieurs soirées au mois d’août, l’Église de Scientology & Celebrity Centre du Grand Paris a retransmis les films des récentes inaugurations des sites du patrimoine de L. Ron Hubbard. La dernière en date était celle du Manoir d’Alexandra Park à Harare au Zimbabwe.
Ainsi, les invités à la soirée ont été enchantés de découvrir l’endroit où L. Ron Hubbard a réalisé des percées en Scientology dans les années 1960. Parmi celles-ci, des conférences filmées traçant une voie vers la liberté spirituelle.
En parallèle, M. Hubbard avait pris des mesures pour améliorer le pays, à l’époque la Rhodésie. Quelques jours après son arrivée en 1966, il proposa une nouvelle Constitution, une Déclaration des droits et un Code pénal — prônant le principe « un homme, une voix », sans distinction de race, de couleur ou de croyance. Son adresse à Alexandra Park devint rapidement un lieu de rencontre pour les ministres, les figures culturelles et les diplomates.
Des experts en restauration ont fidèlement remis le site dans son état d’origine. Lors de la cérémonie d’inauguration du site, plusieurs leaders du Zimbabwe ont rendu hommage à M. Hubbard et ont parlé de son importance persistante.
Sur les pas de L. Ron Hubbard
La présidente du Rotary Club de Harare, Mme Liza Zindoga, a rappelé que M. Hubbard s’était adressé à l’association il y a près de 60 ans. « Il ne parla pas de politique, mais de la construction d’une nouvelle civilisation — de l’abolition des restrictions de déplacements, aux opportunités et à la prospérité… Et son discours fut retransmis à la télévision dans tout le pays. M. Hubbard nous a donné un aperçu de ce que cette nation pourrait être — une feuille de route pour un Zimbabwe meilleur, » a-t-elle déclaré.
L’architecte qui a dirigé la rénovation méticuleuse de ce monument, M. Frans de Klerk, a ensuite pris la parole. « Quand nous avons découvert le site, nous avons vu l’occasion de redonner vie à quelque chose qui avait de l’importance. Ensemble, par-delà les frontières et les langues, nous avons redonné vie à ce site. C’est une racine dans le sol — profonde, durable et indéniablement vôtre. »
Quant au Vice-président de l’Université du Zimbabwe, M. Attwell Mamvuto, il a reconnu l’influence intemporelle de la présence de L. Ron Hubbard dans le pays. « À une époque où notre pays était tiraillé entre ce qu’il était et ce qu’il pouvait devenir, M. Hubbard s’est mis au travail — non pas en protestant, mais avec sa plume, a-t-il déclaré. Sa Constitution et sa Déclaration des droits étaient un cadeau… et un message qui nous parle encore aujourd’hui. Cela disait : “Nous, le peuple de cette nation, garantissons des droits précis en vertu de la loi.” Telles étaient ses paroles, et c’est à nous de les défendre. »
En conclusion, le Président de l’Association interreligieuse pour la paix et le développement du Zimbabwe, l’évêque Albert Chikuni, s’est exprimé. « L. Ron Hubbard n’est pas venu pour s’enrichir, mais pour enrichir les autres… Nous avons vu ce qui se passe quand les gens sont divisés par la politique, par la religion, par la classe sociale. Mais nous avons aussi vu la force qui naît de l’unité — quand les différences sont mises de côté pour poursuivre un avenir commun. C’est cela, le travail de la paix, » a-t-il déclaré.
Cette histoire concrète et visuelle du travail et des avancées réalisées par M. Hubbard pendant son séjour à cet endroit particulier a été l’occasion pour les participants à la soirée d’avoir plus de compréhension sur l’impact considérable de cet héritage.
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