Les scientologues

Les Scientologues plus actifs que jamais contre les abus psychiatriques

Cet été, les scientologues ont été particulièrement actifs pour dénoncer les abus de la psychiatrie et en particulier pour demander que le projet de loi sur les internements psychiatriques forcés, qui sera sans doute discuté à l’Assemblée cet automne, soit abandonné ou profondément remanié.
A Paris, la Commission des citoyens pour les droits de l’homme, une association créée en 1969 par l’Église de Scientologie pour lutter contre les abus psychiatriques, a décidé de ne rien cacher des horreurs de la psychiatrie.

Une grande exposition présentant l’histoire de la psychiatrie et montrant ses violations des droits de l’homme a donc été organisée pendant 10 jours à Paris, passage Jouffroy, sur les grands boulevards. Près de 3000 personnes l’ont visitée et en sont ressorties très émues et bien décidées à ne pas laisser la psychiatrie prendre une place trop important dans notre société.

Une conférence spécifiquement sur le projet de loi a également été organisée dans le cadre de cette exposition et a attiré de nombreux spécialistes des droits de l’homme, inquiets du projet de loi gouvernemental facilitant les internements forcés et instaurant un traitement psychiatrique obligatoire en dehors des hôpitaux.

Les scientologues n’en sont pas restés là.

Ils ont continué leurs actions et ont entrepris un raid à vélo entre Paris et Bruxelles, raid au cours duquel ils se sont arrêtés pour manifester devant une dizaine d’hôpitaux psychiatriques. Le but était d’attirer l’attention sur les abus psychiatriques et sur le projet de loi gouvernemental. Ce but a été largement atteint puisqu’une vingtaine d’articles de presse et de multiples interviews radios ont permis de relayer le message. Les courageux cyclistes, tous membres de la CCDH, ont fini leur périple devant la Commission européenne à Bruxelles pour alerter sur la situation des internements psychiatriques en France.

Après l’été, la mobilisation ne faiblit pas. Prochainement va sortir un numéro spécial du journal Le Déchaîné consacré au projet de loi et mettant en lumière les dangers de ce projet pour les libertés.

Le combat des scientologues contre les atteintes aux droits de l’homme en psychiatrie ne cesse donc de prendre de l’ampleur.

C’est un combat courageux et plus que jamais nécessaire, bénéficiant à la société française dans son ensemble et s’inscrivant pleinement dans les buts de la Scientologie, un monde sans folie, sans criminels et sans guerre.

Ce qui nous unit

Qu’ont en commun les bénévoles qui travaillent pour informer les jeunes sur le danger des drogues, pour faire connaitre la déclaration universelle des droits de l’homme, pour réhabiliter les délinquants, pour lutter contre l’illettrisme, pour alerter la population sur les abus de la psychiatrie… L’AIDE !

Toutes ces personnes veulent aider leur prochain. N’écoutant pas une minorité de cyniques qui préfèrent ricaner en spectateurs, ils ne comptent pas leur temps pour aider les autres. Et surtout, ils croient que c’est possible, qu’on peut aider son prochain et améliorer la société. Ils croient en l’efficacité de leurs outils.

Cette vidéo vous présentera très succinctement leurs résultats.

Une enquête réalisée en France par un sociologue sur un échantillon de 185 personnes choisies au hasard dans un fichier de membres montre que l’âge moyen des scientologues est de trente-cinq ans. Les deux tiers sont mariés ou vivent maritalement. Les scientologues sont bien insérés dans la société et leur niveau professionnel est élevé. Les scientologues français sont principalement issus de l’Eglise catholique mais 16% disent avoir été athées. Chez ceux qui acceptent de se prononcer sur leur attitude envers leur religion d’origine, un peu plus de la moitié affirme qu’ils y appartiennent encore.

Dans l’enquête française, les fidèles interrogés ne sont pas venus chercher une guérison mais plutôt une amélioration de leurs capacités.
Beaucoup cherchent des réponses à des questions philosophiques ou à une quête spirituelle.