Actions humanitaires pour lutter contre la toxicomanie

Actions humanitaires pour lutter contre la toxicomanie

LOS ANGELES, CALIFORNIE – Les Nations Unies ont fait du 26 juin la Journée internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues « pour promouvoir l’action et la coopération en vue d’atteindre l’objectif d’un monde sans abus de drogues ». Et à aucun moment il n’a été plus urgent de le faire. L’Eglise de Scientology et ses membres ont célébré cette journée en présentant les actions des humanitaires qui se consacrent à mettre fin à la crise de la toxicomanie dans les villes du monde entier.

Selon une étude publiée en 2018, la consommation de drogues illicites était responsable de plus de 750 000 décès par an. Rien qu’aux États-Unis, les centres pour le contrôle et la prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) indiquent que plus de 105 000 vies ont été perdues à cause d’une overdose en 2021. Rien d’étonnant à ce que l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) appelle à « prendre des mesures urgentes pour protéger les populations, notamment en renforçant la prévention de la consommation de drogues… ».

L’Église de Scientology parraine le programme « La vérité sur la drogue » de la Fondation pour un monde sans drogue, l’une des plus grandes initiatives non gouvernementales au monde en matière d’éducation et de prévention de la toxicomanie.

De nombreuses actions humanitaires dans différents pays mettent en pratique le programme « La vérité sur la drogue » et obtiennent des résultats positifs.

Savoir qu’une chose peut vous faire du mal, c’est avoir fait la moitié du chemin pour pouvoir la vaincre

Dans les rues de Los Angeles, David Sanchez, ancien toxicomane, utilise la documentation de la Fondation pour un monde sans drogue pour donner aux enfants les connaissances de base dont ils ont besoin pour faire le bon choix et vivre sans drogue. « Je savais que je devais trouver un moyen d’informer les gens », dit-il. « Savoir qu’une chose peut vous faire du mal, c’est avoir fait la moitié du chemin pour pouvoir la vaincre ».

– En Malaisie, Khai Aziz, chanteur du groupe punk hardcore straight-edge Second Combat, utilise sa musique pour faire passer le message aux jeunes qu’il n’y a rien de cool à consommer des drogues. Le straight edge est un punk hardcore dont les adhérents ne consomment ni alcool, ni tabac et autres drogues. Et comme les trafiquants de drogue s’attaquent à des enfants de plus en plus jeunes, Aziz riposte en utilisant la campagne « La vérité sur la drogue » pour sensibiliser les enfants à l’école.

– La vie d’Ingrida Lingyte, d’origine lituanienne, a changé à jamais lorsque sa mère a été tuée et sa sœur paralysée dans un accident causé par un conducteur ivre. Des années plus tard, lors d’une visite en Colombie, elle est tombée sous le charme du pays et s’y est installée. Pour lutter contre la culture de la drogue en Colombie et les souffrances qu’elle engendre, Lingyte et son équipe ont sensibilisé un cinquième de la population du pays à la vérité sur les drogues. Et leur combat continue.

Les vidéos de ces actions et celles de bien d’autres ont été diffusées tout au long de la journée, montrant comment des personnes de tous horizons, de toutes nationalités et de toutes appartenances utilisent le programme « La Vérité sur la drogue » pour sensibiliser les gens à la toxicomanie et les aider à prendre les bonnes décisions face à ce problème.

Selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, « les stratégies de prévention fondées sur des preuves scientifiques et travaillant avec les familles, les écoles et les communautés peuvent garantir que les enfants et les jeunes, en particulier les plus marginalisés et les plus pauvres, grandissent et restent en bonne santé et en sécurité toute leur vie. Pour chaque dollar dépensé en prévention, au moins dix dollars peuvent être économisés en coûts futurs de santé, de services sociaux et de criminalité. »

Le fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard, avait noté le rôle que joue la toxicomanie dans la dégradation du lien social. Il a écrit : « La recherche a démontré que l’élément le plus destructeur présent dans notre culture actuelle est la drogue. »

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Martine Rhein
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