Jett Travolta : une polémique indécente

Jett Travolta : une polémique indécente

Certains commentaires indécents circulent actuellement dans les médias français à la suite du décès de Jett, le fils de l’acteur John Travolta.

Jett Travolta : une polémique indécenteCette polémique indigne et honteuse émane d’opposants américains à l’Eglise de Scientologie qui n’ont manifestement aucun respect pour la personne humaine. Dans le cas contraire, ils se montreraient plus respectueux de la douleur de la famille Travolta qui vient de perdre un être cher.

Il est désormais de notoriété publique que ce groupuscule – par ailleurs bien connu des services de police américains – ne recule devant aucun procédé pour ternir l’image de la Scientologie, et n’hésite pas à la mettre en cause en toute occasion, même lorsque, comme en l’espèce, il s’agit d’un drame individuel qui ne la concerne pas.

Le comble du non respect des libertés fondamentales, en particulier la liberté de croyance, est atteint lorsque le psychiatre attitré de la MIVILUDES se permet de tirer un pseudo diagnostic sur la maladie dont souffrait l’adolescent, alors que celui-ci ignore absolument tout du dossier médical de ce dernier. Preuve en est, une nouvelle fois, du sérieux des « experts » de cette mission gouvernementale présidée par le sulfureux Georges Fenech.

Non seulement, nous pensons que les parents ont le droit légitime d’éduquer et de prendre soins de leurs enfants comme ils l’entendent mais qu’en aucun cas il n’appartient à l’Eglise de Scientologie de se substituer à eux dans ce domaine d’ordre privé. Le parallèle dressé entre ce drame familial et les positions de l’Eglise de Scientologie sur la psychiatrie relève d’un amalgame sans aucun fondement.

Au demeurant, le nombre de condamnations et d’incarcérations prononcées chaque année par les Tribunaux américains contre des professionnels de la psychiatrie montre que les abus commis par cette profession ne sont pas un mythe, mais bien au contraire une triste réalité.

Pour autant, faut-il rappeler que la Scientologie ne s’oppose pas aux traitements médicaux : elle ne dénonce que les « traitements » qui entraînent des effets secondaires graves comme le suicide ou encore ceux qui portent atteinte à la dignité humaine en transformant la personne en zombie.

La Scientologie n’a jamais été condamnée pour exercice illégal de la médecine

Enfin, il convient de souligner que la Scientologie n’a jamais été condamnée pour exercice illégal de la médecine, ni en France, ni dans aucun pays dans le monde. Bien au contraire, dans le monde entier, la Scientologie est considérée comme une Religion constituée dont les pratiques sont protégées par les conventions internationales garantissant les droits de l’Homme.

Mais plus que tout, tous les scientologues de France veulent clamer haut et fort à quel point ils sont choqués par le manque de considération que des polémiques de cette nature engendrent vis-à-vis d’une famille qui fait actuellement son deuil.

Voir ci-dessous la Dépêche AFP du 15 janvier 2009

Les nouveaux médicaments antipsychotiques aussi risqués que les anciens

WASHINGTON (AFP) — Les nouveaux antipsychotiques prescrits pour traiter la schizophrénie, la démence et d’autres maladies mentales, doublent le risque des patients de décéder soudainement d’une défaillance cardiaque, selon une vaste étude publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) daté de jeudi.

Cette recherche est la dernière d’une série de travaux parus au cours des derniers mois indiquant que ces nouveaux antipsychotiques dits « atypiques » ne sont pas plus sûrs que l’ancienne génération de traitements et ce contrairement à ce que la médecine pensait.

« L’étude a mis en évidence un accroissement similaire du risque de décès subit dû à une défaillance cardiaque qui est plus que deux fois celui des personnes ne prenant pas d’antipsychotiques », écrivent les auteurs de ces travaux.

Les nouveaux antipsychotiques qui ont fait l’objet de cette étude, beaucoup plus chers que la génération précédente, sont notamment le Risperdal du laboratoire américain Johnson and Johnson, le Seroquel produit par la firme pharmaceutique britannique AstraZeneca ainsi que le Zyprexa de l’Américain Eli Lilly.

Ces trois antipsychotiques comptent parmi les dix médicaments de cette catégorie les plus vendus dans le monde, générant 14,5 milliards de dollars de ventes en 2007.

Certains médecins mettent en garde contre la pratique médicale actuellement répandue de prescrire ces médicaments pour traiter des maladies pour lesquelles ils ne sont pas autorisés par la FDA, l’agence américaine des médicaments.

Il s’agit notamment de la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées ou de l’hyperactivité des enfants.