Apprendre à parler du problème des drogues

Apprendre à parler du problème des drogues


Les participants à la journée portes ouvertes organisée par la branche bruxelloise des Églises de Scientologie pour l’Europe, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, ont appris à quel point il est facile de sensibiliser les jeunes à la vérité sur les drogues.

Durant un séminaire de la Fondation pour un monde sans drogue à la branche bruxelloise des Églises de Scientologie pour l’Europe, les participants ont non seulement découvert les brochures et les films de la Fondation, mais ont également appris comment présenter l’information à d’autres.

Un des invités a résumé ce qui avait été apprécié par la plupart : « C’était interactif, ça nous a permis de passer à l’action. J’ai particulièrement apprécié quand on s’exerçait sur l’argumentation et comment traiter les objections que les adolescents pourraient soulever. »

Outre leur familiarisation avec les livrets éducatifs sur les drogues, les participants ont également regardé plusieurs des messages d’intérêt public et le documentaire La vérité sur la drogue : des gens réels, des histoires réelles dont les témoignages les ont impressionnés.

Un participant à l’atelier a organisé avec les deux présentateurs une conférence sur la prévention de la toxicomanie dans une mairie voisine. Et un groupe d’adolescents a décidé de devenir plus actif dans la campagne et de présenter le programme La Vérité sur la drogue dans leur école.

La campagne La vérité sur la drogue est l’une des plus importantes initiatives non gouvernementales de formation et de prévention en matière de toxicomanie au monde. La Fondation pour un monde sans drogue, fondation à but non lucratif, fournit gratuitement des brochures, des vidéos et des guides pédagogiques de formation sur la lutte contre la toxicomanie dans 17 langues aux enseignants et aux dirigeants municipaux et communautaires.

Selon le Bureau des Nations Unies sur la toxicomanie et le trafic illicite des drogues, « chaque dollar dépensé pour la prévention peut permettre aux gouvernements d’économiser jusqu’à dix dollars en coûts ultérieurs ».

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