Malgré l’abolition, 40 millions de personnes toujours en situation d’esclavage dans le monde

Malgré l’abolition, 40 millions de personnes toujours en situation d’esclavage dans le monde

LOS ANGELES, CALIFORNIE – A l’occasion d’une journée Portes ouvertes sur le thème de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves, l’Église de Scientology a sensibilisé les gens à la Déclaration universelle des droits de l’homme.

On estime que 13 millions de personnes ont été capturées et vendues comme esclaves au cours de la traite transatlantique des esclaves entre le 15e et le 19e siècle. Mais les Nations Unies estiment que quelque 40 millions de personnes sont aujourd’hui en situation d’esclavage.

Selon le Dr Katarina Schwarz, directrice associée du programme juridique et stratégique du Laboratoire des Droits à l’université de Nottingham, en Angleterre, il semblerait que 94 des 193 États membres des Nations Unies ne considèrent pas l’esclavage comme un crime. Elle a publié un article co-écrit par des chercheurs sur l’état de la traite des êtres humains, basé sur des recherches compilées par la banque de données de lutte contre l’esclavagisme au niveau national.

Ils ont constaté que, bien que 96 % des États membres des Nations Unies disposent d’une forme quelconque de législation nationale contre la traite des êtres humains :

– 94 États n’ont pas de législation interdisant l’esclavage.
– 112 États n’ont pas de dispositions pénales sanctionnant le travail forcé.
– 170 n’ont pas pénalisé les institutions et les pratiques similaires à l’esclavage.
– 180 n’ont pas adopté de législation sanctionnant la notion de servitude.
– Dans tous ces pays, il n’existe pas de loi pénale pour punir ceux qui soumettent d’autres personnes à des formes extrêmes d’exploitation humaine.

Les droits de l’homme doivent devenir une réalité

Déjà en 1969, le fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard, constatait que très peu de gouvernements mettaient en œuvre les points de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Par exemple, l’article 4 de la Déclaration stipule : « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes. »

Mais comme l’a également souligné M. Hubbard, « les droits de l’homme doivent devenir une réalité, et non un rêve utopiste », une affirmation confirmée par ces statistiques de la base de données sur l’anti-esclavagisme dans la législation nationale.

Les scientologues pensent que la sensibilisation aux droits de l’homme est la réponse suprême à cette forme d’abus et à d’autres. Ils s’engagent, selon leurs codes, à soutenir les véritables actions humanitaires dans le domaine des droits de l’homme.

A ce titre, ils prennent part à des initiatives éducatives visant à mieux faire comprendre la Déclaration universelle. Ils travaillent à rendre obligatoire l’enseignement des droits de l’homme dans les écoles de leurs pays. Et ils incitent leurs gouvernements à adopter des lois pour que les articles de la Déclaration aient une valeur juridique.

L’Église de Scientology et ses membres parrainent l’une des plus vastes initiatives d’éducation aux droits de l’homme et d’information du public au monde, United for Human Rights, et son programme Des jeunes pour les droits de l’homme. La présidente de l’association, Mary Shuttleworth, a déclaré : « La question n’est pas de savoir ce que cela coûterait d’enseigner les droits de l’homme, mais ce qu’il en coûterait de ne pas le faire. »

Contact presse :

Martine Rhein
Relations publiques
06.22.75.75.20
publicrelationsoffice2020@gmail.com