BRUXELLES, BELGIQUE – L’association belge Non à la drogue, parrainée par l’Église de Scientology, s’efforce d’informer sur le danger des drogues.
L’année dernière, les autorités belges ont saisi 110 tonnes de cocaïne dans le port d’Anvers. Il n’est donc pas surprenant que la ville soit en tête des communautés européennes pour la consommation de cette drogue. Mais tandis que les autorités s’efforcent de saisir cette drogue illicite, l’association Non à la drogue estime qu’il est possible d’agir pour sensibiliser à la toxicomanie.
Malgré les tendances actuelles en matière de drogue, selon Julie Delvaux, présidente de l’association, l’importance et l’efficacité de la prévention de la toxicomanie ont été largement sous-estimées.
La consommation de crack et de cocaïne est devenue un défi plus important que le terrorisme, selon le ministre belge de la Justice. Anvers est la plus grande plaque tournante du trafic de cocaïne en Europe. Mais Bruxelles est également touchée. En fait, il y a eu plus d’actes criminels dans les quartiers entourant la gare du Midi à Bruxelles que dans les gares des 13 villes flamandes du pays. De plus, la quantité record de drogue qui entre en Belgique fournit la matière première à des laboratoires de fabrication qui, selon les médias, « gagnent également en importance en Europe ».
Mais les bénévoles de l’association Non à la drogue sont optimistes. A cet effet, ils distribuent des livrets de prévention « La vérité sur la drogue ». Ces livrets informent sur les drogues les plus courantes telles que le cannabis, l’alcool, la cocaïne, le crack, les drogues de synthèse, le LSD, etc.
L’éducation sur les effets des drogues conduit à une réduction de la toxicomanie
« Il est essentiel d’informer les jeunes, les parents et les enseignants de la vérité sur les drogues », déclare Mme Delvaux.
C’est ainsi que les bénévoles de l’association se mobilisent pour aider les jeunes à décider en toute connaissance de cause de se droguer ou pas.
Selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, « les stratégies de prévention fondées sur des preuves scientifiques et travaillant avec les familles, les écoles et les communautés peuvent garantir que les enfants et les jeunes, en particulier les plus marginalisés et les plus pauvres, grandissent et restent en bonne santé et en sécurité toute leur vie. Pour chaque dollar dépensé en prévention, au moins dix dollars peuvent être économisés en coûts futurs de santé, de services sociaux et de criminalité. »
L’humaniste et fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard avait noté le rôle que joue la toxicomanie dans la dégradation du lien social. Il a écrit : « La recherche a démontré que l’élément le plus destructeur présent dans notre culture actuelle est la drogue. »
Active en Belgique depuis plus de 20 ans, l’association Non à la drogue, parrainée par l’Église de Scientology, est une filiale de la Fondation internationale pour un monde sans drogue.
Contact presse :
Martine Rhein
Relations publiques
06.22.75.75.20
publicrelationsoffice2020@gmail.com
