ATHÈNES, GRÈCE – Les bénévoles de l’association Non à la drogue d’Athènes utilisent les documents pédagogiques de la campagne « La vérité sur la drogue » que leur fournit la Fondation pour un monde sans drogue. Grâce à cela, ils peuvent aider les jeunes à se faire leur propre opinion.
Des statistiques récentes publiées par l’Université d’Athènes montrent l’importance de la prévention de la toxicomanie. Entre 2018 et 2022, la mortalité liée à la drogue chez les consommateurs grecs faisant l’objet d’une surveillance préventive était la plus élevée par rapport au Canada, à l’Australie, aux pays d’Europe occidentale et centrale, et même aux États-Unis.
De plus, selon les données recueillies par l’Observatoire grec des drogues (EKTEPN), le problème de la consommation de drogues à Athènes s’accélère depuis des décennies.
Les chercheurs de l’Université nationale et capodistrienne d’Athènes ont constaté que pendant la pandémie, il y a eu « une augmentation alarmante de la consommation de drogues, en particulier de cocaïne, et de médicaments psychiatriques ».
Comment informer les jeunes
Face à des enfants en danger, la question est de savoir comment leur faire passer le message.
Pour ce faire, les bénévoles de Non à la drogue organisent des séminaires « La vérité sur la drogue » dans les écoles et permettent aux élèves de se faire leur propre opinion sur ce sujet vital.
Ils constatent en effet que les brochures et le matériel audiovisuel « La vérité sur la drogue » de la Fondation ont résolu le problème de manque d’information. Les messages d’intérêt public retiennent l’attention des jeunes, et en particulier les histoires personnelles d’anciens toxicomanes.
Les élèves lisent les brochures et regardent les vidéos, et les bénévoles leur font jouer des scénarios sur ce qu’ils feraient si quelqu’un les encourageait à expérimenter les drogues. De ce fait, ils peuvent déterminer comment faire face à des situations sociales dans lesquelles des drogues sont présentes. Cela les aide à se sentir confiants et à s’en tenir aux décisions qu’ils ont prises.
Le fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard, avait noté le rôle que joue la toxicomanie dans la dégradation du lien social. Il a écrit : « La recherche a démontré que l’élément le plus destructeur présent dans notre culture actuelle est la drogue. »
L’Église de Scientology parraine le programme La vérité sur la drogue de la Fondation pour un monde sans drogue. C’est l’une des plus grandes initiatives non gouvernementales au monde en matière d’éducation et de prévention de la toxicomanie.
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Martine Rhein
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