BUDAPEST, HONGRIE – À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement 2025, l’Église de Scientology de Budapest a organisé une table ronde intitulée « Le présent et l’avenir de la protection de l’environnement du point de vue de la science et de la religion ». Des scientifiques et des chefs spirituels de diverses confessions – adventistes, catholiques, hindous et scientologues – se sont réunis dans le cadre d’un dialogue exceptionnel et constructif.
À une époque de crise écologique croissante, la nécessité d’une approche de l’action environnementale fondée sur les valeurs n’a jamais été aussi urgente. C’est pourquoi le Programme des Nations unies pour l’environnement a lancé l’initiative « Foi pour la Terre ». Il s’agit d’un effort mondial visant à faire des communautés religieuses et spirituelles des partenaires essentiels de la protection de la planète. Au cœur de cette initiative se trouve une idée simple mais profonde : l’orientation morale et la recherche d’une certaine quiétude sont tout aussi essentielles à la protection de l’environnement que la science et la technologie. Cette vision prend de plus en plus vie en Hongrie, où un mouvement inspiré par le livret Le Chemin du bonheur, un code moral de bon sens écrit par Ron Hubbard, mobilise les scientologues et les citoyens de la région. Ceci afin qu’ils prennent des mesures significatives et pratiques en faveur de la préservation de la planète.
Une planète propre commence par une conscience éclairée
Lors de la table ronde, les discussions ont révélé une compréhension commune : la véritable protection de l’environnement exige plus que des réformes politiques ou des technologies vertes. Elle exige une transformation de la façon dont les gens pensent, vivent et assument leurs responsabilités. Un orateur a souligné que le véritable changement commence lorsque les individus décident de vivre de manière éthique ; non pas par peur, mais par solidarité.
Un concept tiré du précepte « Protégez et améliorez votre environnement » du livret Le Chemin du bonheur a résonné tout au long de l’événement.
L. Ron Hubbard a écrit : « Il peut paraître à certains que c’est aller chercher bien loin et que c’est irréaliste de dire que nous avons tous une part de responsabilité dans la préservation de notre planète et qu’il est en notre pouvoir et même de notre devoir d’y contribuer. Pourtant, de nos jours, ce qui se passe de l’autre côté de la planète, même aussi loin que cela, peut avoir des répercussions dans notre foyer. »
Dans un monde qui privilégie souvent la facilité au détriment de la conscience, ce message a marqué les esprits en rappelant aux participants que la protection de l’environnement est en fin de compte un choix personnel, répété jour après jour.
Un engagement en faveur de l’environnement
Ainsi, un scientologue hongrois, Attila Kis-Balázs, a fondé le Mouvement pour un monde meilleur (Jobb Világ Mozgalom). Il s’est engagé en faveur de l’environnement en s’inspirant profondément du Chemin du bonheur.
Ce qui a commencé comme un effort personnel – ramasser des déchets quand il était enfant – s’est transformé en un mouvement bénévole national dynamique. Aujourd’hui, des centaines de personnes participent aux opérations de nettoyage organisées dans toute la Hongrie. Et si le travail est pratique, l’esprit qui le motive est résolument éthique.
« Le Chemin du bonheur m’a éclairé. Il m’a montré que faire le bien n’est pas seulement idéaliste, c’est essentiel. Lorsque les gens sentent qu’ils peuvent faire la différence, ils le font, a déclaré Attila Kis-Balázs. Il ne s’agissait pas seulement de nettoyer les déchets. Il s’agissait d’être le genre de personne qui laisse le monde meilleur qu’il ne l’a trouvé. »
Aidez à la préservation de la planète
Les bénévoles s’inspirent de quelques préceptes du Chemin du bonheur tels que « Donnez le bon exemple », « Sauvegardez et améliorez votre environnement » ou« Aidez à la préservation de la planète ».
Aujourd’hui, le Mouvement pour un monde meilleur mobilise des centaines de bénévoles dans toute la Hongrie. Cela crée un effet d’entraînement visible non seulement dans la propreté des parcs et des rues, mais aussi dans le dynamisme revitalisé des populations concernées.
Le travail est réel – collecte des déchets, tri des matières recyclables, restauration des espaces verts – mais ce qui frappe les participants pour la première fois, c’est le sentiment de solidarité.
De plus, les collectivités locales s’associent souvent au mouvement en suggérant des lieux qui méritent une attention particulière. Une application développée sur mesure permet de coordonner les efforts et d’encourager les citoyens à proposer de nouveaux sites. Mais ce qui alimente vraiment la continuité, c’est la récompense émotionnelle, la fierté tranquille d’avoir amélioré quelque chose.
M. Iván Arjona, représentant de l’Église de Scientology auprès de l’Union européenne et des Nations unies, considère cette initiative comme un modèle de la manière dont l’éthique individuelle peut se répercuter sur le changement sociétal.
« Ce qui rend le Chemin du bonheur si efficace, c’est qu’il s’adresse à la personne, non pas en termes abstraits, mais sous forme de conseils concrets. Lorsque les gens alignent leurs actions sur leurs valeurs, le changement devient imparable », dit-il.