GAUTENG, AFRIQUE DU SUD – Un ministre de l’Église réformée unifiée d’Afrique du Sud a rassemblé récemment les chefs religieux au nom de l’unité et de la paix.
Lorsque le révérend Shadrack Lekoana, de l’Église réformée unifiée d’Afrique du Sud, a étudié les cours de Scientology Les Outils pour la vie, ceux-ci ont réhabilité son objectif et lui ont donné les moyens d’agir. Il souhaite mettre fin aux conflits et à la rivalité entre les religions qui ne font que détourner les responsables religieux de leur véritable vocation.
À ce jour, le révérend a rassemblé plus de 3 000 responsables de différentes églises et confessions dans toute l’Afrique du Sud pour les former aux outils de Scientology. Ces cours leur permettent d’acquérir les compétences nécessaires pour s’attaquer aux problèmes les plus urgents de leur pays.
« C’est une tragédie de voir ce que la société est devenue en raison de notre négligence », a-t-il déclaré tout récemment à 100 chefs religieux de diverses confessions lors du séminaire de formation.
Cette rencontre a eu lieu au château de Kyalami dans le Gauteng, le siège de la religion de Scientology en Afrique du Sud et de ses programmes d’aide humanitaire.
« La plupart du temps, nous sommes trop concentrés sur les adhésions et sur le fait de prouver qui a raison et qui a tort, a-t-il déclaré. A tel point que nous avons négligé nos devoirs au sein de la communauté. L’unité religieuse ne doit pas être un rêve. Nous sommes tous réunis ici pour acquérir des compétences qui nous permettront d’aider nos communautés. Apprenons dans le but d’aider notre peuple. »
Il est essentiel de nous concentrer sur la manière de résoudre les problèmes de société
Un membre du conseil de l’Église réformée unifiée d’Afrique du Sud a été étonné de ce qu’il a appris en une seule journée. « Nos églises manquent aujourd’hui de leaders forts. Et pendant longtemps, je me suis demandé pourquoi il en était ainsi, a-t-il déclaré. Aujourd’hui, j’ai la réponse. Ils manquent parfois de connaissances pratiques pour gérer les problèmes sociaux, alors ils ne savent pas quoi faire. Mais ils ont la passion d’aider. »
D’autre part, un évêque, secrétaire national adjoint du Conseil des ministres chrétiens d’Afrique du Sud, n’était pas moins enthousiaste. Il a évoqué les nombreux problèmes auxquels les jeunes d’aujourd’hui sont confrontés : le chômage, la drogue, la criminalité, le désespoir et la toxicomanie. Il a été découragé par le manque de programmes efficaces. Mais cette formation lui a apporté de la compréhension sur comment améliorer véritablement les conditions sociales.
Les Ministres Volontaires, bénévoles de Scientology, sont souvent plus connus pour leurs activités internationales de réponse aux catastrophes.
Qu’il serve dans sa propre région ou à l’autre bout du monde, la devise d’un Ministre Volontaire est : « On peut y faire quelque chose. » Ce programme, créé au milieu des années 1970 par L. Ron Hubbard et parrainé par l’Église de Scientology internationale en tant que service social religieux, constitue aujourd’hui l’un des plus grands groupes internationaux de secours d’urgence indépendants.
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