Un rappeur brésilien sensibilise les jeunes aux dangers de la drogue

Un rappeur brésilien sensibilise les jeunes aux dangers de la drogue

CUIABÁ, BRÉSIL – Le rappeur brésilien Diogenes Luiz de Oliveira, ex-toxicomane et trafiquant de drogue, utilise aujourd’hui sa musique pour sensibiliser les jeunes aux dangers de la drogue.

Ayant grandi au milieu des gangs, de la criminalité et de la violence qui sévissaient dans son quartier de Cuiabá, au Brésil, dans les années 80 et 90, Diogenes Luiz de Oliveira s’est retrouvé consommateur et trafiquant de drogue.

Aujourd’hui, après s’en être sorti, il partage son histoire en donnant des conférences dans les écoles. Il s’appuie sur la documentation pédagogique de la Fondation pour un monde sans drogue.

Il a en effet décidé d’aider les jeunes à ne pas tomber dans le piège qui a consumé et presque détruit sa vie. Venant d’un milieu défavorisé, il a commencé à consommer de la marijuana à 14 ans. Puis son oncle l’a initié à la cocaïne. Il s’est lancé ensuite dans le trafic de cocaïne et de crack.

Oliveira a commencé à chanter du rap faisant l’apologie du crime et des gangs et maudissant la police. Avec son groupe, il a commencé à faire la première partie de grands spectacles. Le rêve devint réalité. Mais en 2003, il est arrêté et incarcéré pour trafic de drogue et vol.

En sortant de prison, ses parents l’ont convaincu de suivre une cure de désintoxication. « C’est la meilleure décision que j’aie jamais prise, dit-il. La vie vous apprend des choses surprenantes. »

Aider les jeunes à prendre la décision de vivre sans drogue

En 2018, il s’est associé à l’association brésilienne Mundo sem Drogas (Un monde sans drogue), filiale de la Fondation internationale pour un monde sans drogue, et a utilisé ses livrets de prévention et vidéos « La vérité sur la drogue ». A ce jour, il a touché quelque 40 000 jeunes de sa région.

Olveira rappe toujours. Mais ses chansons sont désormais axées sur l’abstinence. Il utilise sa musique pour dénoncer le crime et la drogue qui ne sont pas la solution aux problèmes de la vie. C’est la raison pour laquelle il se rend dans des écoles pour partager son histoire et aider les jeunes à prendre la décision de vivre sans drogue.

« Mon rêve est de continuer à rapper et à raconter mon histoire dans les écoles pour leur faire connaître la vérité sur les drogues », déclare-t-il.

L’Église de Scientology parraine le programme La vérité sur la drogue de la Fondation pour un monde sans drogue, l’une des plus grandes initiatives non gouvernementales au monde en matière d’éducation et de prévention de la toxicomanie. En aidant les communautés à prendre position contre l’abus de drogues et d’alcool par le biais de l’éducation, la Fondation a touché près d’un milliard de personnes avec des informations factuelles sur les effets néfastes des drogues.

L’humaniste et fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard, avait noté le rôle que joue la toxicomanie dans la dégradation du lien social. Il a écrit : « La recherche a démontré que l’élément le plus destructeur présent dans notre culture actuelle est la drogue. »

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Martine Rhein
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