JOHANNESBURG, AFRIQUE DU SUD – Lorsque l’évêque Daniel Matebesi a découvert les cours de Scientology Les outils pour la vie, cela lui a donné l’espoir de pouvoir contribuer au changement de la société en Afrique du Sud.
Chaque année, l’Afrique du Sud consacre un mois aux droits de l’homme et à ceux qui se sont battus pour mettre fin à l’apartheid et donner aux Sud-Africains les droits dont ils jouissent aujourd’hui.
Le révérend Daniel Matebesi, évêque de l’Église congrégationaliste indépendante d’Afrique australe et président du Conseil des ministres chrétiens d’Afrique du Sud (SACMIC), est particulièrement préoccupé par la question de la violence faite aux femmes. Il décrit cette violence comme « une pandémie dans le pays aujourd’hui ».
Parmi ses nombreuses responsabilités, le révérend Matebesi a été nommé responsable des mariages par le ministère de l’Intérieur. « Je veux aider nos communautés à faire baisser le pourcentage de violence sexiste. »
En effet, plus de 10 000 cas de viol ont été signalés en Afrique du Sud au cours du premier trimestre 2022, ce qui place ce pays parmi les pays où l’incidence de ce crime est la plus élevée au monde.
Le révérend Matebesi a découvert Les outils pour la vie lorsqu’il a été invité à prendre la parole lors d’une conférence nationale de la SACMIC au siège africain de l’Église de Scientology au Château Kyalami à Midrand. Il décrit comment ces cours contenant des solutions simples lui ont permis de faire face à ce problème et l’ont aidé à s’attaquer à un autre problème grave, celui de la toxicomanie.
« Je verse des larmes pour notre jeunesse, dit-il, certains de nos jeunes sont une génération perdue. Certains d’entre eux sont dépendants de l’alcool et de la drogue. »
La connaissance, c’est le pouvoir
Ainsi, les compétences qu’il a acquises grâce aux cours Les outils pour la vie lui ont donné espoir et confiance pour aborder ces questions. « C’est ce que je veux pour mon peuple, dit-il, pour que les enfants de Dieu reçoivent des informations et des connaissances. Car la connaissance, c’est le pouvoir. » Il décrit les outils pour la vie comme un vecteur et un instrument de changement.
Par ailleurs, une conseillère municipale du district de Molema a assisté au séminaire. Elle est également très préoccupée par la violence sexiste et la toxicomanie et par leurs effets sur la communauté. « Ce sont des problèmes qui ne peuvent pas être résolus uniquement par le gouvernement », dit-elle.
Après avoir vu les résultats du programme de développement des compétences, elle s’est engagée à le soutenir. Elle considère en effet qu’il fournit les compétences dont les gens ont besoin pour résoudre ces problèmes urgents.
Le fondateur de la Scientology, L. Ron Hubbard, a mis au point ce programme dans les années 1970 pour la formation des Ministres Volontaires de Scientology, un service social religieux parrainé par l’Église de Scientology internationale. Il constitue aujourd’hui l’un des plus grands groupes internationaux de secours d’urgence indépendants.
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